L’homme, qui s’est converti à l’Islam, ne comprend pas la mesure qui a été prise à son encontre, dans le cadre de l’état d’urgence. Le tribunal administratif de Poitiers s’est penché sur son cas hier. Il dira le 23 décembre s’il suit les recommandations du rapporteur public qui a indiqué que la mesure est en adéquation avec le danger que l’individu pourrait représenter pour la sécurité publique. L’intéressé, qui est fiché S, est suivi par les services du renseignement depuis les attentats de janvier. Il est soupçonné de radicalisation et d’apologie au djihad.