La décision datant de jeudi dernier relève du Ministère de l’intérieur qui a annulé un arrêté du 25 novembre pris dans le cadre de l’état d’urgence. L’individu en question, converti à l’islam depuis une dizaine d’années, était sous le coup d’un 2e arrêté qu’il contestait, alors qu’un premier avait été annulé par le tribunal administratif de Poitiers en raison de soupçons de radicalisation injustifiés. Il est désormais libre.