Plusieurs militants engagés contre la maltraitance animale dans les abattoirs ont manifesté pour dénoncer les mauvaises pratiques de mise à mort. L214 s’était fait connaître en publiant des vidéos choc volées qui avaient déclenché le lancement d’une commission d’enquête parlementaire, présidée par le député rochelais Olivier Falorni. C’est lui qui est à l’origine du contrôle vidéo obligatoire dans les abattoirs dès 2018. Mais cela reste insuffisant, estime Brigitte Gothière, porte-parole de L214 :
Chaque jour, 3 millions d’animaux sont abattus en France, dans des conditions pas toujours connues, dénonce L214. L’association souhaite aller plus loin sur les questions d’éthique, de justice et d’alimentation vegan.