Le maire de Marans tire la sonnette d’alarme. Thierry Belhadj monte au créneau pour dénoncer l’abandon de sa ville par les autorités. Rien n’est fait selon le premier magistrat qui attend désespérément l’aménagement d’un contournement routier. Car aujourd’hui, le centre-ville, qui est au bord de l’asphyxie, se meurt. Preuve en est avec la disparition prochaine de la pharmacie centrale qui part rejoindre la zone commerciale en périphérie. Thierry Belhadj est en colère :

Thierry Belhadj qui demande aux élus locaux et au préfet de ne plus délaisser Marans et le nord Aunis, cette partie du territoire coincée entre la Charente-Maritime et la Vendée, alors qu’un projet d’alternative à l’A831 est toujours à l’étude.