Dans le cadre d’une action coordonnée, plusieurs gendarmes de la brigade nautique ont été déployés sur le littoral pour procéder à des vérifications et sensibiliser les plaisanciers aux dangers du milieu maritime. Ils étaient là également pour verbaliser en cas d’infraction et de non-respect des règles de bonne conduite en mer, et notamment de la vitesse réglementaire dans la bande des 300 mètres. Un délit maritime est passible d’un an de prison et de 150 000 euros d’amende maximum, ainsi que d’une suspension ou d’un retrait du permis de navigation.