Ce matin en conférence de presse, Alain Bouedo, lieutenant-colonel commandant en second du groupement de gendarmerie, Jean-Emmanuelle Nieto, coordinateur de la Sécurité routière, le préfet Nicolas Basselier, et et Myriam Akkari, directrice départementale de la sécurité publique.

Les voitures-radars privatisées en Charente-Maritime. Dès lundi, ce sont des employés de la société GSR qui seront chargés de conduire ces véhicules, et non plus les forces de l’ordre. Après une période de test en Bretagne, en Normandie et dans les Pays de La Loire, le gouvernement a souhaité allonger les plages horaires de contrôle, tout en soulageant les policiers et gendarmes afin que ces derniers puissent se consacrer à d’autres missions. Quatre à six véhicules circuleront simultanément dans le département. Jean-Emmanuelle Nieto, coordinateur de la Sécurité routière, nous en dit plus :

L’externalisation des voitures-radars dès ce lundi est l’occasion pour le préfet de la Charente-Maritime, Nicolas Basselier, de tordre le cou à certaines fausses informations. On l’écoute :

A noter, par ailleurs, l’installation cette année de deux nouveaux radars fixes : un sur l’île de Ré, et l’autre sur l’axe Rochefort-Royan. L’enjeu de ces dispositifs reste la lutte contre l’insécurité routière. Depuis le début de l’année, cinq personnes sont mortes sur les routes de Charente-Maritime, contre une l’année dernière sur la même période.