Cette maladie intervient chez l’homme suite à la piqûre d’une tique porteuse de la bactérie. La Nouvelle-Aquitaine est concernée par cette maladie, avec 1700 nouveaux cas chaque année. Non contagieuse, elle peut entraîner dans sa forme la plus grave une paralysie du visage, une atteinte des nerfs, du cerveau ou des articulations quelques semaines ou années après la piqûre. Alors comment faire pour se protéger ? Les explications d’Antoine Violette :

Un livre de circonstance à lire cet été, dont l’intrigue se déroule sur le littoral charentais. C’est le récit de « L’été de mes quinze ans » publié le mois dernier par le romancier aunisien Michel Pain-Edeline. Originaire d’Aigrefeuille, l’auteur de 57 ans raconte l’histoire d’un jeune peintre dont la vie le ramène à son premier amour de vacances, qui a sans doute conditionné toute son existence. L’intrigue se déroule au cœur de la station balnéaire de Châtel. Un lieu cher à l’auteur. On l’écoute :

« L’été de mes quinze ans » de Michel Pain-Edeline est disponible sur Amazon au prix de 7,37 euros.

Il s’agit de la Finale du SX Tour 2017 outdoor qui compte pour le Championnat de France, en présence des meilleurs riders mondiaux dont Tom Pagès. Une épreuve de haut niveau, mais aussi un spectacle particulièrement impressionnant. L’événement qui fête ses 30 ans est désormais relayé par les plus grands medias spécialisés au niveau européen. Et les meilleures marques, à l’instar des meilleurs pilotes, commencent à s’intéresser de près à cette épreuve qui, selon les spécialistes, est en passe de devenir « Le Bercy en extérieur ». Une manifestation qui promet, comme nous l’explique Robert Hautier, président du Motoclub de la Presqu’île d’Arvert qui organise la compétition :

Présentation des pilotes ce soir à 20h. Début des courses à 21h pour une finale à 23h45, suivie d’un feu d’artifice. Le tarif est de 30 euros et gratuit pour les enfants. 15 000 spectateurs sont attendus.

Pour un été en mer en toute sécurité. La Préfecture maritime de l’Atlantique lance un appel à la vigilance aux usagers de la mer et du littoral. Depuis le début de la période estivale, les deux centres de secours maritimes de Corsen et d’Etel en Bretagne ont reçu de nombreux appels d’urgence qui auraient pu être évités. Bien souvent par imprudence ou par manque d’expérience selon le lieutenant de vaisseau Anne Pitois, officier de communication :

Et pour partir en toute sécurité, il faut s’informer au préalable sur les conditions météos, les horaires des marées, vérifier ses moyens de sécurité, prévenir un proche, et disposer d’un moyen de communication : téléphone portable ou VHF. Enfin pour rappel, en cas de détresse en mer, composez le 196.