Après l’arrêt du projet de barrage en 2003 suite à une décision de justice, il est question de donner des orientations pour valoriser et entretenir cet espace de 1 000 hectares de zone humide et de coteaux, appartenant au Conseil départemental. Car, en l’absence d’une gestion hydraulique pérenne, certaines terres risquent de devenir inexploitables. Une première phase de diagnostic est en cours depuis février, pour évaluer les enjeux économiques, environnementaux et touristiques. On écoute Lionel Quillet, premier vice-président du Conseil départemental de la Charente-Maritime :
Un projet sera présenté fin 2018, avant sa mise en oeuvre dés janvier 2019.
Une intersyndicale CGT, CFDT, CFTC, FO et UNSA appellait les salariés de l’enseigne d’ameublement à faire grève, dans le cadre d’un mouvement national. Les syndicats revendiquent une prime de participation qui a été supprimée cette année par la direction, malgré les bons résultats de l’entreprise. Cela représente une perte moyenne de 800 euros par salarié. Des efforts qui ne sont pas suffisamment récompensés selon Clément Gaborit, délégué CGT du personnel :
Les syndicats resteront mobilisés, tant que la direction ne leur donnera pas satisfaction, et « malgré la période cruciale des fêtes de fin d’année », lâche Clément Gaborit.
L’ouverture hier à Ronce-les-Bains du Congrès national des exploitants de Chemins de fer touristiques et des Musées ferroviaires. 300 acteurs du secteur, des élus et décideurs sont attendus jusqu’à demain au centre de vacances Azureva, où des tables rondes et ateliers sont proposés pour développer cette économie, qui représente une centaine de sociétés et associations en France, 500 cheminots, 3,7 millions de visiteurs par an et 1 200km de voie ferrée, entretenue et conservée. Et les projets ne manquent comme tient à le rappeler Claude Steinmetz. Il est le président de l’Union nationale des chemins de fer touristiques :
Le train touristique, une opération rentable pour les territoires, comme c’est le cas en Charente-Maritime avec le Train des mouettes entre Saujon et La Tremblade. C’est ce que nous dit Pierre Verger, président de l’association Trains et tractions qui exploite le Train des mouettes :
Pour son développement, le Train des mouettes souhaite augmenter le trafic et élargir sa fréquentation sur les ailes de saison. Parmi les projets pour 2018, une grande fête du 4 au 8 juillet pour célébrer la renaissance d’une rame de six wagons américains, qui furent livrés et assemblés en 1917 à La Rochelle.
La Rochelle joue à Castres demain, pour le compte de la 10e journée. Un match qui pourrait compliquer la tâche aux Rochelais, actuellement 3e du championnat. Malgré la 8e place occupée par Castres. On écoute le coach rochelais Patrice Collazo :
Castres/La Rochelle, c’est demain à 18h. Match retransmis sur Rugby + et Canal + sport.
Un ou des individus s’en sont pris à sept voitures, stationnées sur le parking de l’ancienne gendarmerie, près de la gare SNCF. Pas mal de vitres brisées pour des dégâts importants. Un nouveau coup dur pour le quartier qui veut redorer et assainir son image, grâce au projet de pôle gare et à la démolition de la friche Poyaud en cours. Catherine Desprez, maire de Surgères :
La gendarmerie a ouvert une enquête, en attendant les plaintes des propriétaires victimes de ces dégradations.
Nouvelle journée d’action contre la loi Travail. L’intersyndicale CGT, FO, FSU et SUD/Solidaires de Charente-Maritime organise trois manifestations aujourd’hui : à Saintes, Rochefort et La Rochelle, dans le cadre d’un appel à la grève général pour exiger le retrait des ordonnances Macron qui doivent être ratifiées fin novembre au Parlement. On écoute Yvonne Gaborit, secrétaire générale de l’Union départementale CGT de Charente-Maritime :
Trois manifestations sont donc prévues : à 10h30 place Colbert à Rochefort, 11h devant le Palais de justice de Saintes direction le Technicentre SNCF où 135 postes sont menacés, et 14h place de la Motte rouge à La Rochelle.