Il est en effet sous le coup d’un 2e arrêté. Le tribunal administratif de Poitiers examinait hier la requête du plaignant qui contestait son assignation, décidée deux jours après les attentats du 13 novembre. La justice a estimé qu’il n’exerçait pas une activité dangereuse pour la sécurité et l’ordre public. Mais, il est donc toujours sous le coup d’un 2e arrêté, pris dix jours après le premier, soit après la modification de la loi sur l’état d’urgence. Ce 2e arrêté n’a pas été contesté. L’homme, converti à l’islam et soupçonné de radicalisation, peut intenter un nouveau recours.