Le matériel vidéo découvert jeudi dernier près du domicile d’un militant du collectif Bassines Non Merci appartient à la police. C’est ce qu’a indiqué hier la préfecture des Deux-Sèvres. Il s’agissait en fait d’un équipement déployé par les forces de l’ordre pour surveiller le militant en question, qui est le père de Julien Le Guet, porte-parole du collectif. Ce dernier entendait déposer plainte pour surveillance illégale, se disant victime d’espionnage.